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Le bilan de compétences : un espace de transition ?
Support diffusion : POINT D'ACTUALITE-
Les bilans de compétences recouvrent des pratiques très diverses, qui reposent sur trois principes communs : l’individuatisation, la globalisation personnelle et professionnelle, et l’auto-évaluation. Le texte décrit l’environnement du bilan et la série de reations duales qui enferment le bénéficiaire : le pratiricien n’est pas responsable du bilan qui doit être approprié par le candidat, le lien de subordination n’est neutralisé que le temps du bilan, alors que le financeur, ANPE ou employeur, peut rentrer en possession du bilan et l’interpréter librement. C’est à l’acheteur que le prestataire rend des comptes, et la relation marchande qui les unit ne garantie pas sa neutralité. Le financeur peut être le vrai bénéficiaire. Quant au "bénéficiaire", la prestation ne se déroule pas dans un système de reconnaissance collective. La législation apparaît protectrice et conçue pour le travailleur, mais le "bénéficiaire" dispose en fait de peu de capacités d’action sur le déroulement et les résultats du bilan.