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« Mobilité et stabilité sur le marché du travail, une dualité en trompe-l'½il »
Support diffusion : POINT D'ACTUALITE-2011/06
Au tournant des années 2000, les débats concernant l’évolution de la mobilité sur le marché du travail français étaient « divergents et incertains », soulignent les auteurs. Ces derniers observent d’un côté une hausse de la mobilité (changements d’employeur, transitions depuis ou vers le chômage), restée au cours des années 2000 à un niveau plus élevé qu’antérieurement. De l’autre, la part des travailleurs stables, qui ont passé plus des trois quarts de leur carrière chez le même employeur, a aussi augmenté. Mais cette stabilité s’est concentrée sur les générations nées entre 1944 et 1963. Avec le départ en retraite de ces générations, la dualisation risque de s’effacer : « il y aurait davantage de mobiles et moins de stables sur un marché du travail désormais moins rigide, ce que certains espèrent, mais aussi moins protecteur, ce que d’autres redoutent », concluent les chercheurs du CEE.