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République démocratique du Congo : préparer un plan d'action
En République démocratique du Congo, le français est la langue officielle, utilisée dans l’enseignement, alors que quatre autres (lingala, swahili, kikongo et tshiluba) sont reconnues "langues nationales", parmi 450 langues locales. A la tête du Commissariat général à la francophonie, créé en 2001, Isabel Tshombe souligne que certains jeunes ne maîtrisent plus le français, se coupant ainsi d’une partie de la vie sociale et économique. Elle a entrepris une collecte d’informations, pour établir une cohérence entre les actions et éviter tout "saupoudrage". Elle anime un conseil consultatif qui réunit tous les ministères pour dégager une politique globale. Dans ce contexte, la formation des formateurs est primordiale. La coopération avec la France vient de reprendre, et des partenariats ont également été développés avec la Suisse, le Canada et la communauté française de Belgique. Leur appui financier et la mobilisation de formateurs étrangers ont un rôle important à jouer, mais Isabel Tshombe est peu favorable au départ à l’étranger des personnes à former. Faire venir un formateur sur le terrain est une solution plus économique. Les bénéficiaires peuvent être beaucoup plus nombreux et immédiatement opérationnels. Il est par ailleurs plus facile d’établir des partenariats et de collaborer avec les représentations locales des partenaires étrangers. L’ensemble de ce travail se fait étape par étape, et implique de bousculer les habitudes. (résumé Centre Inffo)