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Document
Les dispositifs et les crédits mobilisés en faveur des jeunes sortis sans qualification du système scolaire
Cour des comptes, 20/01/2016. - 191 p.
La Cour des comptes rend public, le 20 janvier 2016, un rapport sur les dispositifs et les crédits mobilisés en faveur des jeunes sortis sans qualification du système scolaire demandé par la commission des finances, de l’économie générale et du contrôles budgétaire de l’Assemblée nationale, en application de l’article 58-2° de la loi organique relatives aux lois de finances.
La Cour dresse six constats :
1) il n’existe pas de politique unifiée de formation et d’insertion des jeunes concernés ;
2) l’effort financier public en faveur des jeunes sans qualification est substantiel : 1,4 Md€ au titre des dispositifs d’insertion et de formation et 0,5 Md€ au titre des emplois aidés ;
3) le ministère de l’éducation nationale a répondu au problème en cherchant à agir au plus vite auprès des jeunes sortant du système éducatif sans qualification ;
4) les jeunes âgés de 18 à 25 ans peuvent bénéficier de plusieurs dispositifs spécifiques (CIVIS ou dispositifs de deuxième chance) ;
5) les dispositifs de droit commun d’aide à l’insertion accueillent un très grand nombre de jeunes sans qualification ;
6) l’architecture d’ensemble de ce système et la dispersion des dispositifs ne permettent pas d’atteindre les objectifs affichés. La Cour formule huit recommandations.
La Cour dresse six constats :
1) il n’existe pas de politique unifiée de formation et d’insertion des jeunes concernés ;
2) l’effort financier public en faveur des jeunes sans qualification est substantiel : 1,4 Md€ au titre des dispositifs d’insertion et de formation et 0,5 Md€ au titre des emplois aidés ;
3) le ministère de l’éducation nationale a répondu au problème en cherchant à agir au plus vite auprès des jeunes sortant du système éducatif sans qualification ;
4) les jeunes âgés de 18 à 25 ans peuvent bénéficier de plusieurs dispositifs spécifiques (CIVIS ou dispositifs de deuxième chance) ;
5) les dispositifs de droit commun d’aide à l’insertion accueillent un très grand nombre de jeunes sans qualification ;
6) l’architecture d’ensemble de ce système et la dispersion des dispositifs ne permettent pas d’atteindre les objectifs affichés. La Cour formule huit recommandations.
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