Document
Bilan des admissions post-baccalauréat dans les établissements publics et privés sous-contrat
Support diffusion : ETUDES REGIONALES-
Informations de périodique : libellé de parution : 2001 / date de parution : 2001-01-01
SAIO
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Rectorat de Rouen, 2001. - 65 p.
Publication annuelle des données de l’admission en première année de STS et de CPGE dans les établissements publics et privés de l’académie. Les données présentées sous forme de graphiques, par Réseaux d’Unités d’Enseignement, et par domaines de spécialités ont pour objectif d’apporter des informations de nature à étayer la réflexion sur les évolutions nécessaires de l’offre de formation et contribuer à éclairer les stratégies d’orientation des jeunes vers l’enseignement supérieur. Des bilans numériques des admissions dans les autres structures post-bac des lycées et des données chiffrées sur les premiers cycles universitaires complètent ce document. L’Académie de Rouen offre 36 spécialités de BTS (16 spécialités du secteur " Services " et 20 spécialités du secteur " Production ") réparties dans 47 établissements (38 lycées publics et 9 lycées privés). Sur un total de 20 425 candidatures en STS, 14 847 (soit 73,3 %) sont relatives au secteur des services et 5578 (soit 27,3 %) au secteur de la production. Concernant les admissions dans les STS du secteur des services (16 spécialités, 56 divisions) la capacité d’accueil théorique est de 1857 places. Le taux d’attraction (rapport entre le nombre de candidats recensés en voeu n°1 et la capacité d’accueil théorique) augmente passant de 3,5 à 3,7. Quelque soit les spécialités, on constate que de grandes différences existent en fonction de critères, tels que le statut public ou privé des établissements, l’implantation géographique des établissements (avec peu ou pas de possibilité d’hébergement) ... et que l’on observe pas de corrélation systématique entre le taux d’attraction et le nombre de places vacantes. Pour les admissions en STS du secteur de la production, la capacité d’accueil théorique est de 983 places. Le taux d’attraction baisse, il passe de 2,9 à 2,2. Beaucoup de sections offrent un grand nombre de places disponibles, le plus souvent après la rentrée de septembre. Plusieurs hypothèses sont avancées, en particulier le fait que les étudiants se dirigent vers des DUT, des formations par apprentissage, ou depuis quelques temps trouvent directement une insertion professionnelle. Les étudiants présents à la rentrée 2001 sont pour plus des trois-quarts issus de baccalauréats technologiques. Les CPGE attirent une grande majorité d’élèves issus d’un baccalauréat général. Il s’agit plus fréquemment de garçons, quelque soit le type de CPGE. Le nombre d’élèves est plus important en CPGE scientifiques que littéraires ou économiques. On dénombre plus de filles dans les sections littéraires et plus de garçons dans les sections scientifiques. Au sein des DPECF, on observe une majorité d’élèves issus d’un baccalauréat technologique et une majorité de filles. Pour les classes de mise à niveau, les baccalauréats généraux sont plus représentés que les autres baccalauréats et les filles restent majoritaires. Les DUT carrières sociales, information et communication, informatique, techniques de commercialisation et génie chimique possèdent les taux d’attraction les plus élevés de l’Académie. Les effectifs des universités de Rouen et du Havre baissent dans la plupart des UFR.
1 - Thèmes généralistes
3 - Thésaurus géographique
4 - Thésaurus formation
Exemplaires (1)
| N° ex. | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|---|
| DOC00004949-1 | 10 | Monographie | Site de Rouen | Fonds Normandie | Disponible |
