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Réactions aux annonces de Muriel Pénicaud
- La CFTC veillera au respect des ANI rédigés par les partenaires sociaux après des semaines de négociation.
- L’Unsa (Union nationale des syndicats autonomes) se félicite d’un grand nombre de mesures contenues dans la réforme de la formation annoncée. Elle craint, en revanche, que la monétisation du CPF nuise à l’équité d’accès à la formation. Prônant la simplification du système de la formation professionnelle, l’Unsa s’interroge néanmoins sur la création de France Compétences et des opérateurs de compétences.
- La future réforme de la formation, « de nature à mieux adapter les compétences aux besoins de l’économie » (U2P).
- La CFTC a prévenu, elle veillera à ce que le projet de loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel « respecte l’esprit des accords nationaux interprofessionnels » conclus par les partenaires sociaux. Sur certains points, les annonces gouvernementales du 5 mars ouvrent la voie à beaucoup d’incertitudes.
- L’Udes (Union des employeurs de l’économie sociale) souhaite être intégrée à la gouvernance nationale et régionale de France compétences. Tout en saluant la simplification du système, l’Udes pointe notamment le montant insuffisant alloué au compte personnel de formation et le risque de non-recours des salariés.
- L’Unsa (Union nationale des syndicats autonomes) se félicite d’un grand nombre de mesures contenues dans la réforme de la formation annoncée. Elle craint, en revanche, que la monétisation du CPF nuise à l’équité d’accès à la formation. Prônant la simplification du système de la formation professionnelle, l’Unsa s’interroge néanmoins sur la création de France Compétences et des opérateurs de compétences.
- La future réforme de la formation, « de nature à mieux adapter les compétences aux besoins de l’économie » (U2P).
- La CFTC a prévenu, elle veillera à ce que le projet de loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel « respecte l’esprit des accords nationaux interprofessionnels » conclus par les partenaires sociaux. Sur certains points, les annonces gouvernementales du 5 mars ouvrent la voie à beaucoup d’incertitudes.
- L’Udes (Union des employeurs de l’économie sociale) souhaite être intégrée à la gouvernance nationale et régionale de France compétences. Tout en saluant la simplification du système, l’Udes pointe notamment le montant insuffisant alloué au compte personnel de formation et le risque de non-recours des salariés.
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