Document : Rapport
Expérimentation territoriale visant à résorber le chômage de longue durée : bilan intermédiaire 2018
ETCLD
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ETCLD, 01/11/2018. - 80 p.
Le projet expérimental pour la résorption du chômage de longue durée avait pour objectif de démontrer que l’exclusion sociale due à la « privation d’emploi » vécue depuis des décennies par la majorité des chômeurs de longue durée n’est pas inéluctable.
Le premier bilan intermédiaire annonce la confirmation des postulats du projet :
• nul n’est inemployable, si l’emploi est adapté aux personnes,
• ce n’est pas le travail qui manque, le travail utile à la société,
• ce n’est pas l’argent qui manque car la privation d’emploi coûte aussi cher que l’emploi utile.
Les enseignements majeurs de ce bilan intermédiaire
Le principal enseignement, c’est que sur les territoires choisis, il est possible d’extirper totalement la privation d’emploi subie et que cela peut se faire sans accroître la dépense publique par l’activation des dépenses passives et les recettes générées par la mise à l’emploi. Une brèche est ainsi ouverte dans le mur du chômage de longue durée.
Les points de vigilance pour la suite de l’expérimentation sur les 10 territoires habilités
Ce bilan intermédiaire permet de préciser les chantiers de progrès :
• accroître la compétence des salariés et la qualité des travaux utiles, ce qui suppose un effort important de formation ;
• les chiffres d’affaires générés doivent progresser pour combler l’écart entre le coût complet de l’emploi et les subventions publiques reçues ;
• la croissance des entreprises à but d’emploi (EBE) suscite des questions nouvelles relatives à leur management et à leur organisation ;
• l’expérimentation montre des besoins de fonds propres pour le démarrage et les investissements qui n’avaient pas été véritablement anticipés.
Pour en savoir plus :
Le premier bilan intermédiaire annonce la confirmation des postulats du projet :
• nul n’est inemployable, si l’emploi est adapté aux personnes,
• ce n’est pas le travail qui manque, le travail utile à la société,
• ce n’est pas l’argent qui manque car la privation d’emploi coûte aussi cher que l’emploi utile.
Les enseignements majeurs de ce bilan intermédiaire
Le principal enseignement, c’est que sur les territoires choisis, il est possible d’extirper totalement la privation d’emploi subie et que cela peut se faire sans accroître la dépense publique par l’activation des dépenses passives et les recettes générées par la mise à l’emploi. Une brèche est ainsi ouverte dans le mur du chômage de longue durée.
Les points de vigilance pour la suite de l’expérimentation sur les 10 territoires habilités
Ce bilan intermédiaire permet de préciser les chantiers de progrès :
• accroître la compétence des salariés et la qualité des travaux utiles, ce qui suppose un effort important de formation ;
• les chiffres d’affaires générés doivent progresser pour combler l’écart entre le coût complet de l’emploi et les subventions publiques reçues ;
• la croissance des entreprises à but d’emploi (EBE) suscite des questions nouvelles relatives à leur management et à leur organisation ;
• l’expérimentation montre des besoins de fonds propres pour le démarrage et les investissements qui n’avaient pas été véritablement anticipés.
Pour en savoir plus :
1 - Thèmes généralistes
4 - Thésaurus formation
