Document : Rapport
L’école française aide-t-elle les élèves à construire leur orientation ?
Dans un dossier rendu public le 11 décembre 2018, le Cnesco formule 10 actions prioritaires à mettre en place. Enrichir la réflexion sur la connaissance de soi, créer une plateforme nationale d’information sur l’orientation ou lutter contre les stéréotypes de genre dès le primaire sont quelques-unes de ses préconisations.
Le Conseil national d'évaluation du système scolaire (Cnesco) propose de :
- créer une plateforme nationale "guichet unique" d’information et de contacts géolocalisés. Le Cnesco propose pour cela de s’appuyer sur l’Onisep. Cette plateforme nationale publique accompagnerait les élèves du collège jusqu’à leur insertion professionnelle. Elle rassemblerait "les informations régionales, nationales et internationales sur les filières, leurs passerelles et leurs débouchés et sur les métiers"
- développer la connaissance de soi. Il pourrait s’agir de proposer aux jeunes des activités de réflexions sur ce qu’ils aiment
- lutter contre les inégalités d’orientation. L’instance propose de faire venir l’information et le conseil jusqu’aux jeunes de territoires isolés, en s’inspirant par exemple du "bus de l’orientation" qui va à la rencontre des élèves des communes rurales du Morbihan
- mettre les acteurs locaux en réseau pour permettre la découverte des métiers. Le Cnesco propose par exemple de créer un répertoire de contacts au niveau départemental pour échanger avec les élèves ou bien de labelliser les associations qui mettent en place des dispositifs efficaces
- accorder plus de temps à l’expérimentation des métiers dès le collège. Le Cnesco appelle à multiplier les périodes de stages et d’immersion en entreprise ou de mettre en place des simulations d’entreprises au sein des établissements
- découvrir les filières à travers l’expérience d’étudiants et l’immersion. Le Cnesco propose de rémunérer des étudiants ambassadeurs, d’organiser des simulations d’entretiens entre élèves ou encore de généraliser l’immersion des lycéens à l’université
- former l’équipe éducative. Il pourrait par exemple s’agir de mettre en place des formations locales, partant des problématiques rencontrées par les acteurs, pour en déterminer le contenu ou de mettre en place un travail partenarial entre le secondaire et le supérieur autour des attendus des filières
- former le plus de familles possible à l’accompagnement à l’orientation
- mettre en place un mentorat réalisé par des professionnels
- évaluer des dispositifs nationaux et régionaux.
Le Conseil national d'évaluation du système scolaire (Cnesco) propose de :
- créer une plateforme nationale "guichet unique" d’information et de contacts géolocalisés. Le Cnesco propose pour cela de s’appuyer sur l’Onisep. Cette plateforme nationale publique accompagnerait les élèves du collège jusqu’à leur insertion professionnelle. Elle rassemblerait "les informations régionales, nationales et internationales sur les filières, leurs passerelles et leurs débouchés et sur les métiers"
- développer la connaissance de soi. Il pourrait s’agir de proposer aux jeunes des activités de réflexions sur ce qu’ils aiment
- lutter contre les inégalités d’orientation. L’instance propose de faire venir l’information et le conseil jusqu’aux jeunes de territoires isolés, en s’inspirant par exemple du "bus de l’orientation" qui va à la rencontre des élèves des communes rurales du Morbihan
- mettre les acteurs locaux en réseau pour permettre la découverte des métiers. Le Cnesco propose par exemple de créer un répertoire de contacts au niveau départemental pour échanger avec les élèves ou bien de labelliser les associations qui mettent en place des dispositifs efficaces
- accorder plus de temps à l’expérimentation des métiers dès le collège. Le Cnesco appelle à multiplier les périodes de stages et d’immersion en entreprise ou de mettre en place des simulations d’entreprises au sein des établissements
- découvrir les filières à travers l’expérience d’étudiants et l’immersion. Le Cnesco propose de rémunérer des étudiants ambassadeurs, d’organiser des simulations d’entretiens entre élèves ou encore de généraliser l’immersion des lycéens à l’université
- former l’équipe éducative. Il pourrait par exemple s’agir de mettre en place des formations locales, partant des problématiques rencontrées par les acteurs, pour en déterminer le contenu ou de mettre en place un travail partenarial entre le secondaire et le supérieur autour des attendus des filières
- former le plus de familles possible à l’accompagnement à l’orientation
- mettre en place un mentorat réalisé par des professionnels
- évaluer des dispositifs nationaux et régionaux.
