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Les apports de la loi du 5 septembre 2018 pour la mobilité des apprentis
Selon les estimations du ministère du Travail, environ 6 800 apprentis auraient bénéficié d’une mobilité internationale en 2017-2018. Parmi lesquels environ 5 350 doivent leur expérience à l’étranger au programme phare de l’Union européenne, Erasmus +.
Dans une interview au Quotidien de la formation, Sébastien Thierry, directeur général adjoint de l’Agence Erasmus + France / Éducation & Formation, rappelle ce que la loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel a changé pour la mobilité des apprentis.
La première contribution de la réforme est de sécuriser les démarches de mobilité côté employeur, tout en préservant les intérêts du jeune.
Le deuxième apport majeur de la loi du 5 septembre 2018 est d’introduire la notion de « référent mobilité » dans les centres de formation d’apprentis.
Alors que les discussions en cours sur le programme financier pluriannuel 2021-2027 évoquent a minima un doublement du budget dédié à Erasmus +, Sébastien Thierry se félicite de cette perspective de croissance et explique qu’il y a une forte appétence qui laisse entendre que l’objectif gouvernemental des 15 000 apprentis mobiles d’ici 2022 est atteignable, si les dotations progressent ».
Dans une interview au Quotidien de la formation, Sébastien Thierry, directeur général adjoint de l’Agence Erasmus + France / Éducation & Formation, rappelle ce que la loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel a changé pour la mobilité des apprentis.
La première contribution de la réforme est de sécuriser les démarches de mobilité côté employeur, tout en préservant les intérêts du jeune.
Le deuxième apport majeur de la loi du 5 septembre 2018 est d’introduire la notion de « référent mobilité » dans les centres de formation d’apprentis.
Alors que les discussions en cours sur le programme financier pluriannuel 2021-2027 évoquent a minima un doublement du budget dédié à Erasmus +, Sébastien Thierry se félicite de cette perspective de croissance et explique qu’il y a une forte appétence qui laisse entendre que l’objectif gouvernemental des 15 000 apprentis mobiles d’ici 2022 est atteignable, si les dotations progressent ».
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