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L’éolien en mer français espère rattraper le temps perdu
Des premiers parcs en mer qui seront opérationnels à partir de 2021, trois seront situés en Normandie.
Les usines d’éoliennes en mer de General Electric ont fait le plein de commandes jusqu’en 2025. Avec le démarrage du chantier de Saint-Nazaire, la filière espère enfin décoller.
Le développement des premiers projets français a permis d’adapter le cadre administratif et de poser les bases de la filière industrielle en France. Ce long travail devient concret avec le lancement des travaux du premier projet. Dans la foulée, EDF Renouvelable envisage de lancer les chantiers sur le site de Fécamp (83 éoliennes pour 498 MW) puis sur celui de Courseulles-sur-Mer (75 éoliennes pour 450 MW), dont les recours juridiques ont été définitivement rejetés. S’ajoutera à l’horizon 2023 le parc de Dieppe-Le Tréport (62 éoliennes pour 496 MW)
La filière revendique déjà plus de 18 000 emplois dans l’Hexagone.
Selon France Energie Eolienne, l’association qui rassemble les professionnels de la filière, le secteur de l’éolien est le premier employeur des énergies renouvelables en France.
Au total la France revendique une puissance installée de plus de 15 000 MW. La production éolienne reste donc marginale dans le mix électrique français (5,84 % des besoins en 2018).
D’ici à 2030, la filière veut créer près de 40 000 nouveaux emplois. Pour cela elle devra s’atteler à plusieurs défis : diversifier les zones d’implantation des parcs pour gagner en attractivité et s’impliquer dans une pédagogie de longue haleine pour favoriser l’acceptabilité des éoliennes et pour faire face aux messages anti-éolien en France.
Les usines d’éoliennes en mer de General Electric ont fait le plein de commandes jusqu’en 2025. Avec le démarrage du chantier de Saint-Nazaire, la filière espère enfin décoller.
Le développement des premiers projets français a permis d’adapter le cadre administratif et de poser les bases de la filière industrielle en France. Ce long travail devient concret avec le lancement des travaux du premier projet. Dans la foulée, EDF Renouvelable envisage de lancer les chantiers sur le site de Fécamp (83 éoliennes pour 498 MW) puis sur celui de Courseulles-sur-Mer (75 éoliennes pour 450 MW), dont les recours juridiques ont été définitivement rejetés. S’ajoutera à l’horizon 2023 le parc de Dieppe-Le Tréport (62 éoliennes pour 496 MW)
La filière revendique déjà plus de 18 000 emplois dans l’Hexagone.
Selon France Energie Eolienne, l’association qui rassemble les professionnels de la filière, le secteur de l’éolien est le premier employeur des énergies renouvelables en France.
Au total la France revendique une puissance installée de plus de 15 000 MW. La production éolienne reste donc marginale dans le mix électrique français (5,84 % des besoins en 2018).
D’ici à 2030, la filière veut créer près de 40 000 nouveaux emplois. Pour cela elle devra s’atteler à plusieurs défis : diversifier les zones d’implantation des parcs pour gagner en attractivité et s’impliquer dans une pédagogie de longue haleine pour favoriser l’acceptabilité des éoliennes et pour faire face aux messages anti-éolien en France.
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