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Le gouvernement veut inciter les entreprises à miser sur la formation
L’exécutif met sur la tabler un projet ouvrant la voie à l’amortissement de la moitié des 15 milliards de dépenses annuelles de formation des entreprises. Ce serait une manière de les encourager à mettre l’accent sur le capital humain.
Tout ce qui améliore les compétences des Français est bon pour eux-mêmes, pour leur employeur et donc pour l’économie et la société dans son ensemble, estime le gouvernement.
Il pousse donc un projet à même, selon lui, de changer le regard des entreprises sur la formation de leurs salariés, voire d’y consacrer plus d’argent : la possibilité d’amortir une partie des 15 milliards qu’elles y consacrent chaque année, et donc de considérer ces dépenses comme un investissement au même titre que l’achat d’une machine.
Le projet se présente sous forme d’un droit d’option ouvrant la possibilité pour les entreprises d’amortir sur troiis à cinq ans leurs dépenses réalisées au-delà du 1 % de la masse salariale légal consacré à la formation soit environ 7 milliards d’euros par an.
Les sommes versées au titre du 1 % légal alimentent les fonds mutualisés pour les sociétés de moins de 50 salariés. Elles ne profitent donc pas à celles dont les effectifs sont supérieurs. Puisque ces sommes sont « perdues », autant améliorer son résultat et ses capitaux propres en amortissant tout ce qui est dépensé en plus, argumentent les organisations patronales.
Tout ce qui améliore les compétences des Français est bon pour eux-mêmes, pour leur employeur et donc pour l’économie et la société dans son ensemble, estime le gouvernement.
Il pousse donc un projet à même, selon lui, de changer le regard des entreprises sur la formation de leurs salariés, voire d’y consacrer plus d’argent : la possibilité d’amortir une partie des 15 milliards qu’elles y consacrent chaque année, et donc de considérer ces dépenses comme un investissement au même titre que l’achat d’une machine.
Le projet se présente sous forme d’un droit d’option ouvrant la possibilité pour les entreprises d’amortir sur troiis à cinq ans leurs dépenses réalisées au-delà du 1 % de la masse salariale légal consacré à la formation soit environ 7 milliards d’euros par an.
Les sommes versées au titre du 1 % légal alimentent les fonds mutualisés pour les sociétés de moins de 50 salariés. Elles ne profitent donc pas à celles dont les effectifs sont supérieurs. Puisque ces sommes sont « perdues », autant améliorer son résultat et ses capitaux propres en amortissant tout ce qui est dépensé en plus, argumentent les organisations patronales.
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