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Le Medef réclame une aide de 10 000 euros par contrat d’apprentissage
Dans le concert de propositions visant à minimiser les effets de la crise sur l’apprentissage, le Medef et le collectif d’entreprises pour une économie plus inclusive demandent un « deal jeunesse », qui se concrétiserait par une aide de 10 000 € à chaque entreprise recrutant un apprenti avant le 31 décembre 2020.Cette aide serait versée quels que soient la taille de l’entreprise et le niveau de diplôme préparé par l’apprenti, et concernerait également les contrats de professionnalisation d’une durée de deux ans. Pour le Medef, cette mesure « forte, simple et lisible » devrait être prise immédiatement « afin de soutenir en particulier les secteurs traditionnellement attachés à l’apprentissage (artisans, TPE et PME), les plus touchés par la crise ».
Les organisations estiment le coût pour l’État entre 3 et 4 milliards d’€, pour un objectif de 400 000 nouveaux apprentis en 2020, ramené à un coût net entre 1 et 2 milliards d’€ en soustrayant les « coûts sociaux évités » (par exemple, la Garantie jeunes coûte 6000 €/an, et 100 000 jeunes en bénéficient actuellement). Cette mesure permettrait aux 1 200 centres de formation d’apprentis territoriaux d’avoir un volume de formation assurant leur pérennité.
Deuxième grand axe des propositions patronales : assouplir les modalités d’apprentissage en permettant notamment aux futurs apprentis de rester en formation dans leur CFA pendant au minimum neuf mois, avant de conclure un contrat d’apprentissage.
Dans un troisième axe plus général, les organisations appellent à poursuivre la transformation de l’apprentissage, initiée avec la dernière réforme : l’encourager dans les secteurs porteurs d’emploi où il n’est pas très développé (service à la personne, santé, sécurité…) ; inscrire les contrats d’apprentissage comme une modalité de réponse aux clauses d’insertion des marchés publics et privés…
Les organisations estiment le coût pour l’État entre 3 et 4 milliards d’€, pour un objectif de 400 000 nouveaux apprentis en 2020, ramené à un coût net entre 1 et 2 milliards d’€ en soustrayant les « coûts sociaux évités » (par exemple, la Garantie jeunes coûte 6000 €/an, et 100 000 jeunes en bénéficient actuellement). Cette mesure permettrait aux 1 200 centres de formation d’apprentis territoriaux d’avoir un volume de formation assurant leur pérennité.
Deuxième grand axe des propositions patronales : assouplir les modalités d’apprentissage en permettant notamment aux futurs apprentis de rester en formation dans leur CFA pendant au minimum neuf mois, avant de conclure un contrat d’apprentissage.
Dans un troisième axe plus général, les organisations appellent à poursuivre la transformation de l’apprentissage, initiée avec la dernière réforme : l’encourager dans les secteurs porteurs d’emploi où il n’est pas très développé (service à la personne, santé, sécurité…) ; inscrire les contrats d’apprentissage comme une modalité de réponse aux clauses d’insertion des marchés publics et privés…
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