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Les acteurs de l’apprentissage saluent les mesures pour soutenir le recrutement des jeunes
Attendu avec impatience, le plan de relance de l’apprentissage du gouvernement dévoilé le 4 juin a reçu un accueil favorable de la part des nombreux acteurs qui ont multiplié les propositions ces dernières semaines. « Il y avait urgence à intervenir. La rentrée de l’apprentissage s’annonçait fortement impactée », rappelle CCI France. Sans mesure de soutien, certains réseaux comme celui de CCI France craignaient de faire face à une baisse d’au moins 25 % du nombre d’apprentis à la rentrée.
Généraliser l’aide aux employeurs
Pour inciter les entreprises à embaucher des apprentis malgré le contexte économique difficile, le gouvernement a élargi et revalorisé le système d’aide accordé aux employeurs. Une prime de 5 000 euros ou de 8 000 euros sera ainsi versée aux entreprises qui recrutent un apprenti entre le 1er juillet 2020 et le 28 février 2021. Un soutien financier qui était « indispensable » selon les acteurs du terrain comme la Fnadir qui réunit les directeurs de CFA. Pour autant, le gouvernement n’est pas allé assez loin selon certains. Pour CMA France, cette prime à l’embauche « ne vient pas renforcer suffisamment les aides existantes dont bénéficient les entreprises artisanales les plus touchées par le risque de faillite ».
De plus, cette aide ne concerne pas les apprentis qui préparent un diplôme supérieur à la licence. Une « rupture d’égalité » déplorée par les acteurs de l’enseignement supérieur, qui craignent « un effet d’éviction des apprentis de niveau master ou diplômes équivalents (ingénieurs…), alors que les effets de la crise économique liée au Covid-19 frapperont tous les jeunes », notent plusieurs organisations, qui réclament dans un communiqué commun, l’extension de l’aide exceptionnelle à tous les apprentis.
Généraliser l’aide aux employeurs
Pour inciter les entreprises à embaucher des apprentis malgré le contexte économique difficile, le gouvernement a élargi et revalorisé le système d’aide accordé aux employeurs. Une prime de 5 000 euros ou de 8 000 euros sera ainsi versée aux entreprises qui recrutent un apprenti entre le 1er juillet 2020 et le 28 février 2021. Un soutien financier qui était « indispensable » selon les acteurs du terrain comme la Fnadir qui réunit les directeurs de CFA. Pour autant, le gouvernement n’est pas allé assez loin selon certains. Pour CMA France, cette prime à l’embauche « ne vient pas renforcer suffisamment les aides existantes dont bénéficient les entreprises artisanales les plus touchées par le risque de faillite ».
De plus, cette aide ne concerne pas les apprentis qui préparent un diplôme supérieur à la licence. Une « rupture d’égalité » déplorée par les acteurs de l’enseignement supérieur, qui craignent « un effet d’éviction des apprentis de niveau master ou diplômes équivalents (ingénieurs…), alors que les effets de la crise économique liée au Covid-19 frapperont tous les jeunes », notent plusieurs organisations, qui réclament dans un communiqué commun, l’extension de l’aide exceptionnelle à tous les apprentis.
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