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Document : Etude
Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19
Dares
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En mai, l’activité reprend fortement dans les entreprises.
• Les causes de la chute d’activité se modifient et esquissent le passage d’un choc sanitaire à un choc de demande.
• Les difficultés rencontrées par les entreprises changent un peu de nature également : les difficultés liées à la gestion sanitaire se réduisent fortement, de même que celles relatives à l’approvisionnement, alors que celles liées à l’aval se stabilisent.
• Les réductions d’effectifs restent, comme en avril, contenues globalement, même si elles sont significatives dans certains secteurs.
• En mai, début du déconfinement, le retour des salariés sur site s’accélère : fin mai, près de la moitié des salariés travaillaient sur site (après un tiers fin avril et un quart fin mars).
• Si la part des salariés au chômage partiel complet diminue, le nombre d’entreprises ayant eu recours au chômage partiel au cours du mois augmente entre avril et mai.
• Le nombre de salariés au chômage partiel au cours du mois de mai est estimé à 7,8 millions de salariés, après 8,7 millions en avril et 7,2 millions en mars, pour 449 millions d’heures en mai (soit 1,7 semaine par salarié en moyenne).
• Les mesures de protection individuelle se sont encore renforcées entre avril et mai. La très grande majorité des salariés bénéficient désormais de masques, de gel hydroalcoolique et de mesures de respect des distances.
• Les perspectives des entreprises s’améliorent légèrement mais restent marquées par une forte incertitude et une grande hétérogénéité entre secteurs.
• Les principales difficultés que les entreprises voient poindre dans la perspective d’une reprise d’activité restent la disponibilité limitée de certains salariés, l’organisation de l’activité de manière à respecter la distanciation sociale, et le manque de débouchés.
• Les causes de la chute d’activité se modifient et esquissent le passage d’un choc sanitaire à un choc de demande.
• Les difficultés rencontrées par les entreprises changent un peu de nature également : les difficultés liées à la gestion sanitaire se réduisent fortement, de même que celles relatives à l’approvisionnement, alors que celles liées à l’aval se stabilisent.
• Les réductions d’effectifs restent, comme en avril, contenues globalement, même si elles sont significatives dans certains secteurs.
• En mai, début du déconfinement, le retour des salariés sur site s’accélère : fin mai, près de la moitié des salariés travaillaient sur site (après un tiers fin avril et un quart fin mars).
• Si la part des salariés au chômage partiel complet diminue, le nombre d’entreprises ayant eu recours au chômage partiel au cours du mois augmente entre avril et mai.
• Le nombre de salariés au chômage partiel au cours du mois de mai est estimé à 7,8 millions de salariés, après 8,7 millions en avril et 7,2 millions en mars, pour 449 millions d’heures en mai (soit 1,7 semaine par salarié en moyenne).
• Les mesures de protection individuelle se sont encore renforcées entre avril et mai. La très grande majorité des salariés bénéficient désormais de masques, de gel hydroalcoolique et de mesures de respect des distances.
• Les perspectives des entreprises s’améliorent légèrement mais restent marquées par une forte incertitude et une grande hétérogénéité entre secteurs.
• Les principales difficultés que les entreprises voient poindre dans la perspective d’une reprise d’activité restent la disponibilité limitée de certains salariés, l’organisation de l’activité de manière à respecter la distanciation sociale, et le manque de débouchés.
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