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Article
L’insertion comme réponse à la crise : les propositions du secteur de l’économie sociale
L’Udes demande un soutien marqué des pouvoirs publics à l’ensemble des secteurs de l’économie sociale et solidaire, notamment dans le cadre des concertations sur l’emploi, du Ségur de la santé et de la réforme de la perte d’autonomie.
L’emploi des jeunes
L’UDES plaide pour la création de 100 000 « emplois boost » : ciblés prioritairement vers les entreprises à but non lucratif ou à lucrativité limitée, en échange d’un engagement sur la localisation de l’emploi et d’une mesure d’impact, ces emplois qualifiés à forte valeur ajoutée permettraient de conduire et d’accompagner des projets de mutation dans l’économie du « care », circulaire et écologique en ciblant d’abord les jeunes.
Les structures et les acteurs accompagnant les jeunes, notamment les plus en difficulté, doivent bénéficier de moyens accrus pour déployer leurs actions. Une enveloppe de 200 millions d’euros doit être fléchée en direction des missions locales et des réseaux information jeunesse afin d’adapter les dispositifs tels que le PACEA - Parcours contractualisé d'accompagnement adapté vers l'emploi et l'autonomie - et la Garantie jeunes, et de renforcer l’obligation de formation des jeunes décrocheurs en 2020.
Enfin, l’exonération temporaire de contribution patronale d’assurance chômage (a minima 6 mois) pour l’embauche en CDI d’un jeune de moins de 26 ans faciliterait significativement leur embauche.
L’emploi des jeunes
L’UDES plaide pour la création de 100 000 « emplois boost » : ciblés prioritairement vers les entreprises à but non lucratif ou à lucrativité limitée, en échange d’un engagement sur la localisation de l’emploi et d’une mesure d’impact, ces emplois qualifiés à forte valeur ajoutée permettraient de conduire et d’accompagner des projets de mutation dans l’économie du « care », circulaire et écologique en ciblant d’abord les jeunes.
Les structures et les acteurs accompagnant les jeunes, notamment les plus en difficulté, doivent bénéficier de moyens accrus pour déployer leurs actions. Une enveloppe de 200 millions d’euros doit être fléchée en direction des missions locales et des réseaux information jeunesse afin d’adapter les dispositifs tels que le PACEA - Parcours contractualisé d'accompagnement adapté vers l'emploi et l'autonomie - et la Garantie jeunes, et de renforcer l’obligation de formation des jeunes décrocheurs en 2020.
Enfin, l’exonération temporaire de contribution patronale d’assurance chômage (a minima 6 mois) pour l’embauche en CDI d’un jeune de moins de 26 ans faciliterait significativement leur embauche.
Télécharger le communiqué de presse (PDF - 161 ko) / Télécharger les propositions portées par l’UDES sur l’emploi (PDF - 647 ko) / En savoir plus sur l’Udes
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