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Quand l'orientation devient un droit.
Le rapport Schwartz a permis, à partir de 1982, la généralisation de pratiques d’orientation professionnelle à l’intérieur du dispositif de formation professionnelle. La prise en compte de l’orientation s’est traduite par la mise à disposition d’outils pour certains publics et l’obligation de passer par une phase d’orientation pour accéder à des mesures de formation. L’orientation restait donc soit une possibilité, soit une obligation pour les demandeurs d’emploi. Quant aux salariés, occuper un emploi semblait présupposer qu’ils n’avaient plus de besoins en matière d’orientation et que la reconnaissance d’un droit à l’orientation, comme le demandait le Conseil Economique et Social depuis 1980, n’avait donc pas de raison d’être. Le crédit-formation, en instituant un droit au bilan pour les travailleurs sans qualification va ouvrir la voie à la naissance d’un véritable droit à l’orientation. Déjà apparu dans certains accords de branche et facilité par la création des C. I. B. C., le droit au congé de bilan de compétences vient d’être reconnu aux salariés par les partenaires sociaux. Ce droit est de nature à modifier le rapport de travail si la qualité des prestations fournies par les organismes de bilan est à la hauteur des enjeux. (d’après la revue)