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Le problème actuel est moins celui de la qualité de la formation que celui de la qualité du processus de production des compétences individuelles et collectives
Fait partie du dossier "La qualité de la formation"
Pour Guy Le Boterf, l’économie française, au début des années 80, est entrée de plain-pied dans l’économie des services. Un mouvement de fond s’engage alors où la qualité de la formation devient celle de la qualité d’un processus de formation et donc aussi de la qualité de ce que produit ce processus : des compétences. Si l’on veut mettre en place un processus de production des compétences, il faut aller jusqu’à exercer une certaine maîtrise de la qualité de ce qui se passe après la formation proprement dite. Pour Alain Meignant, le mouvement de la qualité s’inscrit, pour l’entreprise, dans une évolution où le positionnement stratégique dépend directement de la capacité de maîtriser la variabilité des résultats, c’est-à-dire de maîtriser les process pour assurer les conditions pour que les résultats soient bons du premier coup. Les contraintes économiques et budgétaires ont amené à réévaluer les activités fonctionnelles. (d’après le résumé de la revue)